Publisher Description DĂ©cryptez Les Contes de la bĂ©casse avec l'analyse de Paideia Ă©ducation !Que faut-il retenir de ce chef-d'Ćuvre de la littĂ©rature française ? Retrouvez tout ce que vous devez savoir du recueil de nouvelles de Maupassant dans une analyse de rĂ©fĂ©rence pour comprendre rapidement le sens de l' de maniĂšre claire et accessible par un enseignant, cette fiche de lecture propose notamment un rĂ©sumĂ©, une Ă©tude des thĂšmes principaux, des clĂ©s de lecture et des pistes de analyse littĂ©raire complĂšte et dĂ©taillĂ©e pour mieux lire et comprendre le livre ! GENRE Professional & Technical RELEASED 2020 March 27 LANGUAGE FR French LENGTH 64 Pages PUBLISHER Paideia Ă©ducation SELLER Numilog SIZE KB More Books by Guy de Maupassant
Lescontes de la bĂ©casse de Maupassant (fiche de lecture et analyse complĂšte de l'oeuvre) - Venez dĂ©couvrir Les Contes de la bĂ©casse de Maupassant grĂące Ă une analyse littĂ©raire de rĂ©fĂ©rence ! Ăcrite par un spĂ©cialiste universitaire, cette fiche de lecture est recommandĂ©e par de nombreux enseignants. Cet ouvrage contient la biographie de l'Ă©crivain, le rĂ©sumĂ© dĂ©taillĂ©, le RĂ©sumĂ© du chapitreI Le roman sâouvre par une rĂ©flexion sous forme dâun monologue interne InterprĂ©tĂ© dans sa cellule de BicĂȘtre, le narrateur se rappelle son passĂ© de libertĂ© cependant il se trouve prisonnier de lâidĂ©e de sa condamnation Ă mort. Cette pensĂ©e lâobsĂšde et infecte sa vie. Elle est prĂ©sentĂ©e comme une femme Ă deux bras qui le secoue, hante ses rĂȘves et le poursuit partout. RĂ©sumĂ© du chapitre II RĂ©cit de la proclamation de la condamnation Ă mort Le narrateur relate les Ă©vĂ©nements passĂ©s le jour de la proclamation de sa condamnation Ă mort. Il dĂ©crit aussi les juges, les jurĂ©s, la salle dâaudience, lâatmosphĂšre qui y rĂ©gnait et les gens qui ont assistĂ© Ă son procĂšs. SĂ©duit par les lumiĂšres, par les couleurs, par les bruits, le narrateur chante la vie Ă travers ses sensations et ses impressions dans une ambiance totalement contradictoire. Alors quâil semble apprĂ©cier la vie dans toutes ses dimensions, les jurĂ©s le condamnent Ă mort et brisent son espoir. Tout redevient noir et triste Ă ses yeux. RĂ©sumĂ© chapitre IIIRetour au monologue interne Le narrateur se livre Ă une rĂ©flexion sur le bien-fondĂ© de sa condamnation Ă mort. Il estime que les humains sont tous des condamnĂ©s Ă mort. Ce qui diffĂšre câest la maniĂšre et le temps. RĂ©sumĂ© chapitre IVRetour au rĂ©cit de lâincarcĂ©ration Ă BicĂȘtre LâarrivĂ©e Ă BicĂȘtre. En attendant son pourvoi =recours auprĂšs d'une juridiction supĂ©rieure contre la dĂ©cision d'un tribunal en cassation, le narrateur est conduit Ă la prison de BicĂȘtre. De loin le prison ressemble Ă un chĂąteau de roi mais de plus prĂšs elle est dĂ©labrĂ©e=en ruine, dans un trĂšs mauvais Ă©tat et vĂ©tuste =qui porte les marques de la vieillesse. RĂ©sumĂ© du chapitre V Suite du rĂ©cit de lâincarcĂ©ration Ă BicĂȘtre Lorsque le narrateur est arrivĂ© Ă BicĂȘtre, les gardes lui ont dĂ©fendu tout objet tranchant qui pourrait servir Ă un suicide puis ils lui ont remis une camisole. Durant les premiers jours de ses sĂ©jours Ă BicĂȘtre le narrateur a Ă©tĂ© bien traitĂ© mais battu par la suite comme nâimporte quel prisonnier. Cependant certaines faveurs lui ont Ă©tĂ© acceptĂ©es comme le papier, lâencre, les plumes et une lampe. De mĂȘme, il pouvait sortir dans la cour chaque dimanche, ainsi il a cĂŽtoyĂ© les autres prisonniers et a appris leur argot. RĂ©sumĂ© du chapitre VI Alors le narrateur a dĂ©cidĂ© de noter son journal de chĂątiments. LâĂ©criture devient une justification Ă la vie terne et monotone de la prison. Il dĂ©cide dâĂ©crire pour communiquer ses souffrances morales afin dâamener les dĂ©cisions a abolir la peine de mort. Il rĂ©alise Ă quâ il sâattache Ă la vie. RĂ©sumĂ© du chapitre VII Le narrateur sâattarde sur sa situation et espĂšre quâon sâintĂ©resserait un jour Ă son cas. Mais lâidĂ©e de sa condamnation continue de lâobsĂ©der et le torturerRĂ©sumĂ© du chapitre VIII En attendant son pourvoi en en cassation, le narrateur passe son temps Ă compter les jours qui lui restent Ă vivre, il lui reste donc six semaines. RĂ©sumĂ© du chapitre IX Le narrateur regrette de laisser derriĂšre lui sa femme, sa mĂšre et surtout sa fille de trois ans sans protection et sans ressources. RĂ©sumĂ© du chapitre XLe narrateur dĂ©crit sa cellule, câest une petite piĂšce Ă quatre murs en pierre avec une voĂ»te et une petite porte en fer oĂč il y a une petite ouverture servant de fenĂȘtre. Il y a aussi un matelas en paille. A lâextĂ©rieur il y a un couloir qui relie les autres cellules et un garde permanent RĂ©sumĂ© du chapitre 11Pour passer le temps le narrateur lit et tente de comprendre les inscriptions et les dessins sur les murs de sa cellule. AttirĂ© par des mots Ă©crits par un sous-officier guillotinĂ© pour ces idĂ©es rĂ©publicaines, il est pris de panique Ă la vue de lâĂ©chafaud dessinĂ© sur le mur. RĂ©sumĂ© du chapitre 12 Le narrateur dĂ©couvre les noms de quatre criminels cĂ©lĂšbres passĂ©s par la mĂȘme cellule. Les sont Ă©crits Ă cotĂ© du nom de Papavoine, un criminel qui tuait les enfants. Il est alors pris de terreur Ă lâidĂ©e de la mort et du tombeau. RĂ©sumĂ© du chapitre 13 RĂ©cit des prĂ©paratifs au dĂ©part des forçats pour Toulon Le narrateur raconte quâun jour la prison Ă©tait trĂšs agitĂ©e par le dĂ©part des forçats pour Toulon, Mis dans une autre cellule pour suivre ce spectacle Ă travers une fenĂȘtre, le narrateur sâattarde sur la description de la grande cour de BicĂȘtre, des bĂątiments vĂ©tustes, des fenĂȘtres grillĂ©es et principalement sur les visages des prisonniers qui regardent Ă travers ces fenĂȘtres. Le spectacle du dĂ©part commence Ă midi avec lâentĂ©e =greffer dâune charrette transportant des chaĂźnes servant Ă attacher les forçats et portant les habits quâils vont mettre pour le dĂ©part. Ensuite, les argousins Ă©tendent ces chaĂźnes dans un coin de la cour. Quand ce travail est fini, lâinspecteur donne lâordre au directeur pour laisser enter les forçats dans une petite cour oĂč ils sont acclamĂ©s par les prisonniers / spectateurs. Puis on les prĂ©sente Ă lâappel aprĂšs leur avoir fait passer une visite mĂ©dicale. Au moment oĂč les forçats se prĂ©parent pour mettre les vĂȘtements du voyage, une pluie torrentielle commence Ă tomber. AccablĂ©s de froid dans leur nuditĂ©, les forçats chantent leurs malheurs. Enfin, on les enchaĂźne dans des cordons que deux forgerons fixent Ă leurs pieds et on leur donne Ă manger. Ce spectacle dĂ©solant rend le narrateur enragĂ©, il tente de sâenfouir mais il nâarrive pas et sâĂ©vanouit sur le champ. RĂ©sumĂ© du chapitre 14 AprĂšs sâĂȘtre transportĂ© Ă lâinfirmerie, le narrateur a repris connaissance, il sâest enroulĂ© ensuite dans ses draps et sa couverture dont la chaleur lui a donnĂ© lâenvie de se rendormir. Mais le bruit de cinq charrettes transportant les forçats le rĂ©veille. Conduit par des gendarmes Ă cheval et des argousins Ă pieds, le convoi prend dĂ©part pour un voyage de vingt cinq jours de souffrances et de misĂšres. Emu par ce spectacle dĂ©solant, le narrateur prĂ©fĂšre la guillotine Ă la galĂšre. RĂ©sumĂ© du chapitre 15 Retour au cachot, le narrateur est remis dans son cachot. LâidĂ©e de sa condamnation continue de le torturer moralement au point oĂč il espĂšre obtenir une grĂące car il tient Ă la vie plus que jamais. Mais il est trop tard. RĂ©sumĂ© du chapitre 16 Quand le narrateur Ă©tait Ă lâinfirmerie, il avait entendu la voix dâune jeune fille de quinze ans chanter une chanson oĂč il est question dâassassinat et de mort. Il fut terrifiĂ© parce que tout est prison Ă BicĂȘtre, tout lui rappelle la mort. RĂ©sumĂ© chapitre 17Le narrateur rĂȘve dâĂ©vasion mais son rĂȘve ne peut ĂȘtre rĂ©alisĂ©, il est interrompu par lâidĂ©e de lâincarcĂ©ration et de la condamnation. ResumĂ© chapitre 18Il est six heures du matin. Le guichetier entre dans le cachot. Il demande Ă notre condamnĂ© ce quâil dĂ©sire Ă du chapitre 19Le directeur de la prison rend visite au narrateur dans son cachot pour lui demander sâil se plaint dâun quelconque mauvais traitement. Pris de panique, le narrateur croit que lâheure de son exĂ©cution est venue. RĂ©sumĂ© du chapitre 20TerrifiĂ©, le narrateur imagine la prison comme une sorte de monstre Ă moitiĂ© humain, Ă moitiĂ© objet qui le torture, le boire et le tue. RĂ©sumĂ© du chapitre 21A six heures et demi du matin le narrateur a Ă©tĂ© visitĂ© dans son cachot par un prĂȘtre puis par lâhuissier officier ministĂ©riel chargĂ© de signifier les actes de procĂ©dure et de mettre Ă exĂ©cution les jugements de la Cour royale de Paris qui lui apprendre le rejet de sa demande du pourvoi en cassation et son transfert Ă la Conciergerie. RĂ©sumĂ© du chapitre 22Le narrateur quitte son cachot et se fait conduire dans la voiture qui lâa ramenĂ© Ă BicĂȘtre vers Paris, le convoi arrive Ă Paris vers huit heures et demi du matin. La foule, avide de sang, sâest dĂ©jĂ attroupĂ©e pour ne pas manquer lâexultation. RĂ©sumĂ© du chapitre 23Une fois arrivĂ© au Palais de Justice, le narrateur sâest senti investi dâune certaine libertĂ© qui nâa pas tardĂ© Ă disparaĂźtre Ă la vue des sous-sols. Remis par lâhuissier au directeur, le narrateur a Ă©tĂ© enfermĂ© dans un cabinet en compagnie dâun autre condamnĂ© ĂągĂ© de 55 ans et qui attend Ă son tour son transfert Ă BicĂȘtre. AprĂšs avoir entendu lâhistoire du vieux, le narrateur a Ă©changĂ©, par peur, sa redingote contre la veste du vieillard. Enfin il est reconduit Ă une chambre dans lâattente de son exĂ©cution. RĂ©sumĂ© du chapitre 24Le narrateur regrette amĂšrement lâĂ©change de sa redingote qui nâĂ©tait que par du chapitre 25 Le narrateur est amenĂ© ensuite Ă une cellule oĂč on lui a donnĂ© une table, une chaise et tout pour Ă©crire. Mais on a installĂ© avec lui un gendarme pour empĂȘcher toute tentative du suicide. RĂ©sumĂ© du chapitre 26Le narrateur a Ă©crit une lettre Ă sa fille dans laquelle il exprime toute sa douleur et son amertume. Il accuse les hommes de vouloir laisser une enfant de trois ans orphelin. Lâattente de lâexĂ©cution semble exercer un effet terrifiant sur le narrateur qui espĂšre un miracle pour le sauver. RĂ©sumĂ© du chapitre 27Le narrateur est pris dans un tourbillon de peur et de terreur au point oĂč il nâose pas Ă©crire le mot guillotine ». il imagine que son exĂ©cution sera atroce. RĂ©sumĂ© du chapitre 28Ayant dĂ©jĂ assistĂ© Ă une exĂ©cution, le narrateur imagine comment sera la sienne. Il croit que les prĂ©paratifs ont dĂ©jĂ commencĂ© par le graissage de la rainure. RĂ©sumĂ© du chapitre 29Dans un moment de dĂ©lire, le narrateur espĂšre la grĂące royale mais en vain RĂ©sumĂ© du chapitre 30 Le prĂȘtre est revenu consoler le narrateur et lâassister dans ces derniers moments. Le prĂȘtre qui exerce cette fonction depuis des annĂ©es se fait renvoyĂ© par le narrateur qui veut rester seul pendant sa rĂ©flexion. RĂ©sumĂ© chapitre 31Dans ces derniers moments de retranchement, lâarchitecte de la prison est entrĂ© dans la cellule oĂč se trouve le narrateur pour prendre des mesures afin de rĂ©nover les murs lâannĂ©e suivante puis il Ă©change des propos avec le narrateur avant de se faire renvoyĂ© par le gendarme. RĂ©sumĂ© du chapitre 32 Le gendarme chargĂ© de surveiller le narrateur a Ă©tĂ© Ă©changĂ© par un autre, un superstitieux et mordu des loteries. Il supplie le narrateur de le visiter dans ces rĂȘves, une fois mort, pour lui donner des numĂ©ros gagnants. Le narrateur lui demande en Ă©change ses vĂȘtements en vue dâune Ă©ventuelle Ă©vasion, mais le gendarme ridicule refuse et le dĂ©sespoir regagne le narrateur. RĂ©sumĂ© du chapitre 33Le narrateur sentant lâheure de la mort approcher se rĂ©fugie dans le rĂȘve. Il retrouve des souvenirs dâenfance et de jeunesse en compagnie de sa bien-aimĂ©e la petite Espagnole Pepa. Il garde surtout le souvenir dâune soirĂ©e passĂ©e ensemble oĂč ils sont Ă©changĂ©s des bises. RĂ©sumĂ© du chapitre 34Le narrateur retrouve dans le souvenir ses annĂ©es dâinnocence mais il revoit en crime et tente de se repentir. Malheureusement il nâa pas le temps de le faire. Il en pense quâĂ son heure qui approche. RĂ©sumĂ© du chapitre 35Le narrateur envie les gens ordinaires qui vaquent Ă leurs taches quotidiennes. RĂ©sumĂ© du chapitre 36Le narrateur se rappelle le jour oĂč il est allĂ© voir la cathĂ©drale Notre-Dame de Paris. Au moment oĂč il est arrivĂ© au sommet de la tour, la cloche a sonnĂ© et a fait trembler tout le toit. Heureusement il a Ă©vitĂ© une chute mortelle. RĂ©sumĂ© du chapitre 37Le narrateur revoit lâHĂŽtel de Ville dont lâaspect triste lui rappelle la GrĂšve au moment des exĂ©cutions avec les rassemblements des spectateurs. RĂ©sumĂ© du chapitre 38Lâheure de lâexĂ©cution approche, il ne lui reste que deux heures et quarante cinq minutes. Le narrateur ressent alors des douleurs physiques atroces. RĂ©sumĂ© du chapitre 39Le narrateur imagine comment il va vivre le moment de son exĂ©cution. Il vit ce moment par prĂ©vision. Mais le fait dây penser le fait souffrir davantage. RĂ©sumĂ© du chapitre 40PoussĂ© par son instinct de survie , le narrateur pense au roi Charles X en espĂ©rant une Ă©ventuelle grĂące. RĂ©sumĂ© du chapitre 41Le narrateur dĂ©cide dâaffronter la mort avec courage. Il imagine alors ce que sera sa vie aprĂšs la mort. Cela pourrait ĂȘtre des abĂźmes de lumiĂšres sans fin ou des gouffres hideux oĂč tout sera noir et oĂč le narrateur tombera sans cesse. Il imagine aussi les morts pourraient se rassembler dans la place de la GrĂ©ve pour assister Ă lâexĂ©cution du bourreau par un dĂ©mon. Le narrateur voudrait savoir ce quâil adviendra de son Ăąme aprĂšs la mort. Dans ce moment de crise Ă lâapproche de lâexĂ©cution le narrateur rĂ©clama un prĂȘtre pour soulager sa douleur RĂ©sumĂ© du chapitre 42AprĂšs lâarrivĂ©e du prĂȘtre, le narrateur a dormi pendant quelques instants. Il a fait alors un rĂȘve Ă©trange il rĂȘve quâil Ă©tait chez lui avec des amis, quâils avaient parlĂ© de quelque chose qui les avait effrayĂ©s puis ils avaient entendu un bruit dans la maison, câĂ©tait une vielle femme qui sâĂ©tait cachĂ©e dans la cuisine. Au moment oĂč il a rĂȘvĂ© que la vielle le mordait, il sâest rĂ©veillĂ© puis on lui a annoncĂ© la prĂ©sence de sa fille. RĂ©sumĂ© du chapitre 43Malheureusement sa fille ne lâa pas reconnu. Elle ne lâa pas vu depuis un an. Il a tentĂ© de lui faire comprendre quâil est son vrai pĂšre mais la fille ne lâa pas cru. Rien ne le rattache Ă prĂ©sent Ă la vie. Il se laisse conduire Ă la mort docilement. RĂ©sumĂ© du chapitre 44Pendant lâheure qui lui reste Ă vivre le narrateur se ressaisit et revoit dans son esprit comment sera son exĂ©cution. Il pense au bourreau, Ă la foule, aux gendarmes et Ă la place de GrĂšve. RĂ©sumĂ© du chapitre 45Il imagine la foule en train de lâapplaudir, une foule insensible Ă ses souffrances. Il pense Ă ce lieu fatal qui est la place de GrĂšve et Ă toutes les tĂȘtes qui tomberaient aprĂšs lui dans lâindiffĂ©rence totale. RĂ©sumĂ© du chapitre 46Il pense Ă sa fille qui lâa dĂ©jĂ oubliĂ© et veut lui Ă©crire une histoire. RĂ©sumĂ© du chapitre 47Note Le narrateur nâavait pas le temps pour Ă©crire son histoire. RĂ©sumĂ© du chapitre 48Lâheure de lâexĂ©cution est arrivĂ©, on demande au narrateur de se prĂ©parer mais il se sent faible. On lâa emmenĂ© dans une chambre au rez-de-chaussĂ©e du palais de Justice oĂč son bourreau avec ses deux valets lâattendait. On lui a coupĂ© les cheveux puis on lui a attachĂ© les mains derriĂšre le dos et on a coupĂ© le col de sa chemise ensuite on lui a liĂ© les deux pieds puis on lui a nouĂ© les deux manches de sa veste sur le menton. On lâa pris sous les aisselles pour le conduire Ă la guillotine. La foule est lĂ qui attend hurlante. Les gendarmes, les soldats sont aussi lĂ pour accompagner le condamnĂ©. Mis dans une charrette avec le prĂȘtre, le narrateur frĂ©mit de peur devant cette foule enragĂ©e. Sur le chemin qui mĂšne Ă la place de GrĂšve la foule sâest attroupĂ©e. Sous une pluie fine la charrette passe par le pont- au- Change, par le quai aux Fleurs puis par la coin du Palais. AttirĂ© par une Tour, le narrateur demande au prĂȘtre des informations sur cet Ă©difice. Ce dernier lui a dit quâelle sâappelle crucifix et le baise pour avoir du courage Ă affronter la foule qui semble lâeffrayer plus que la mort. Passant par le quai, le narrateur entre dans une sorte dâivresse qui enveloppe son esprit et le coupe de la rĂ©alitĂ© au point oĂč il ne distingue plus rien. Son corps commence Ă sentir la mort. Tout dĂ©file devant ses yeux sans quâil puisse y accorder la moindre attention. Seule la voix de la foule se fait entendre. Enfin la charrette arrive Ă la place de GrĂ©ve, le narrateur demande alors une derniĂšre faveur Ă©crire ses derniĂšres volontĂ©s. RĂ©sumĂ© du dernier chapitre 49PoussĂ© par son instinct de la survie, le narrateur supplie un commissaire chargĂ© de suivre lâexĂ©cution de lui accorder cinq minutes dans lâespoir dâavoir une grĂące au dernier moment. Malheureusement on est venu le chercher Ă quatre heures de lâaprĂšs-midi pour lâexĂ©cuter.Guyde MAUPASSANT. Contes de la bĂ©casse, Paris, Garnier-Flammarion, 1979, p. 175-176. Titre : Contes de la bĂ©casse Auteur : Guy de Maupassant, Ă©crivain français, nĂ© en 1850 et mort en 1893. Mise en contexte : Les Contes de la bĂ©casse sont des rĂ©cits qui illustrent la vie rurale du nord-ouest de la France au XIXe siĂšcle. Extrait de « Aux champs1 » Les deux chaumiĂšres Ă©taient
Sontdisponibles une centaine de titres. - Contes de la BĂ©casse de Guy de Maupassant , collection : PETITS CLASSIQUES. LAROUSSE n° 98 (texte intĂ©gral) Le livre comprend les 17 textes du recueil Contes de la BĂ©casse + un appareil pĂ©dagogique dâune. cinquantaine de pages. Il est plutĂŽt destinĂ© Ă des Ă©lĂšves de niveau gymnase comme lâattestent les. activitĂ©s dâexpression
ââââAux champs est une nouvelle rĂ©aliste Ă©crite par Guy dâe Maupassant 1850 â 1893. Toute l'action se dĂ©roule Ă la campagne, dans le pays de Caux, en Normandie. Elle est parue pour la premiĂšre fois le 31 octobre 1882 dans le journal Le Gaulois puis en 1883 dans Les Contes de la bĂ©casse. ââLa nouvelle prĂ©sente trois familles. Les thĂšmes de la nouvelle sont lâadoption, la pauvretĂ©, lâargent, la cupiditĂ©, la jalousie. Sommaire 1 RĂ©sumĂ© 2 Analyse 3 Adaptation Ă la tĂ©lĂ©vision En bande dessinĂ©e RĂ©sumĂ©[modifier modifier le wikicode] Masure normande peinte en 1878. le Pays de Caux de Maupassant. Dans la campagne, en Normandie, vivent misĂ©rablement deux familles paysannes voisines, les Tuvache 3 filles et 1 garçon et les Vallin 3 garçons et 1 fille. M. et Mme d'HubiĂšres, qui n'ont pas d'enfant, passent par lĂ et font une halte. La femme trouve le fils Tuvache mignon et dĂ©cide de l'adopter contre de l'argent. La mĂšre de ce dernier refuse car elle veut garder cet unique fils et parce qu'on ne vend pas un enfant. Finalement, les d'HubiĂšres vont adopter l'un des fils de la famille Vallin pour 120 francs par mois. La famille Tuvache va continuer Ă vivre dans la misĂšre, tandis que la famille Vallin va vivre correctement. âVingt ans plus tard, le fils Vallin, riche, revient voir sa famille, ils fĂȘtent son retour parmi eux. Le fils Tuvache qui n'a pas Ă©tĂ© adoptĂ©, Ă©cĆurĂ© de voir ce qu'est devenu son voisin, et ce qu'il aurait pu devenir, reproche Ă ses parents de ne pas avoir Ă©tĂ© vendu Ă la famille d'HubiĂšres, puis part dans la nuit aprĂšs les avoir insultĂ©. Analyse[modifier modifier le wikicode] Maupassant prend souvent comme cadre de ses histoires la campagne, et la campagne normande en particulier. Câest pourquoi lâon peut regrouper ses rĂ©cits en contes normands et en contes parisiens. Guy de Maupassant sâest appliquĂ© Ă dĂ©crire fidĂšlement la sociĂ©tĂ© de son Ă©poque, aussi bien la classe bourgeoise que la vie des paysans normands. Câest ce milieu campagnard que nous retrouvons dans Aux champsâ. Pour dĂ©crire ce milieu, Maupassant va utiliser le style du rĂ©alisme des expressions prĂ©cises sont employĂ©es pour dĂ©crire la vie des paysans et leur mentalitĂ©, âet le patois est mĂȘme utilisĂ©. Dans cette nouvelle, Maupassant semble donner une vision plutĂŽt pessimiste de la sociĂ©tĂ©. Les paysans sont dans une grande dĂ©tresse Ă cause de leur pauvretĂ©, si bien quâils sont prĂȘts Ă vendre leur enfant. â Dans cette nouvelle, on peut voir que la morale qui ressort de lâhistoire est contraire Ă celle que lâon attend car la famille qui a vendu son enfant gagne alors que celle qui a gardĂ© lâenfant connait une fin injuste et triste. Ce texte a pour fin une morale troublante car dâun cĂŽtĂ©, les Vallin ont vendu leur enfant, ce qui est immoral car un enfant n'est pas un objet, et dâun autre cĂŽtĂ© les parents qui ont vendu leur enfant lui ont donnĂ© la chance dâune vie meilleure. Finalement les parents Tuvache ont tout de mĂȘme perdu leur fils, il est ingrat car ses parents se sont privĂ©s d'argent par amour pour lui. Si les Tuvache nâont pas vendu leur fils, câest aussi quâil sâagit de leur fils unique et quâils en avaient besoin pour le travail Ă la ferme. De plus, madame d'HubiĂšres a un comportement puĂ©ril tout au long de la nouvelle.â Adaptation[modifier modifier le wikicode] Ă la tĂ©lĂ©vision[modifier modifier le wikicode] En 1986, la sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©e française L'ami Maupassant est rĂ©alisĂ©e par HervĂ© BaslĂ©, avec Maryline Even. En 2008, la sĂ©rie tĂ©lĂ©visĂ©es française Chez Maupassant wp est rĂ©alisĂ©e par Olivier Schatzky, avec Marianne Basler. Aux Champs est lâĂ©pisode 3 de la saison 2. En bande dessinĂ©e[modifier modifier le wikicode] Michel Pierret a créé la bande dessinĂ©e Aux Champs pour la collection Je bouquine en mai 1999 n°135. Guyde Maupassant Contes de la BĂ©casse bibebook Guy de Maupassant Contes de la BĂ©casse Un texte du domaine public. Une Ă©dition libre. bibebook La BĂ©casse e